Depuis qu’Omar m’a tuer, l’orthographe murale est en roue libre. Comment une femme aussi instruite que Ghislaine Marchal a-t-elle pu faire une pareille faute ? Faut-il y voir le stress de l’agonie ou un élément disculpant Omar Raddad ?
Et s’il était plus difficile de maintenir son orthographe verticalement ? C’est ce que je me demande à chaque fois que des graffitis m’inspirent des petits cris. Après tout, les murs n’ont pas de correcteur d’orthographe, et les tagueurs ni gomme ni touche retour.
Et peut-être qu’il vaut mieux des fautes à des ratures.
A moins que ce ne soit un appel au participatif comme ici
ou là
Guillemette Faure